mercredi 26 novembre 2008

HO CHI MINH VILLE LEPORC CONSULAT FRANCE

Mr VERDI Patrice
C/O Mr VERDI Marcel
Résidence ithaque
34 rue renée dunan
06150 CANNES LA BOCCA
04 93 90 31 85
06 62 75 73 47
Monsieur VERDI Patrice Cannes le 07/ 11 / 08
à
Monsieur le Procureur du Tribunal de Grande Instance de Grasse
37 av Pierre Sémard BP 71029
06130 GRASSE
TEL : 04 92 60 72 00 Fax : 04 92 60 72 35
Monsieur le Procureur,
Suite à ma LR avec AR en date du 14/10/08 concernant ma plainte pour escroquerie contre Monsieur LEPORC à laquelle vous n’avez toujours pas répondu , je tiens à vous rappeler une partie des termes de cette dernière en précisant certains points :
Fonctionnaire de Police depuis 1993, j’ai proposé en 1997 un manuscrit intitulé ‘Le serment d’hypocrite’ à Monsieur LEPORC alias René DELERINS, qui tenait une société d’édition rue montaigne à CANNES ; après avoir organisé un certain battage médiatique régional et même national sur ma personne, ma fonction et mon livre car je représentais un auteur atypique qui passait finalement du « bâton à la plume » ; Monsieur LEPORC m’a fait signer un contrat d’édition qui m’assurait 10% de droits d’auteur sur les ventes de mon livre puis m’a affirmé qu’il devait faire enregistrer le document chez un notaire avant de me le rendre. Ensuite , plus de nouvelles, la société avait soi-disant fermé et Monsieur LEPORC avait disparu de la circulation. Il y a quelques mois, j’entends à la radio que ce Monsieur a été condamné par le TGI de GRASSE à payer des dommages et intérêts très importants à Michèle MERCIER pour escroquerie car il était également son éditeur à cette époque, j’ai alors entrepris de petites recherches et je me suis retrouvé en vente et disponible sur la FNAC depuis 08/1998 avec le même éditeur et N°ISBN de l’exemplaire initial de mon livre émis par cette société en mon nom et que j’ai toujours en ma possession.J’ai donc depuis 1997 été toujours en vente et je n’ai jamais perçu aucun droits d’auteur sur mon oeuvre, il y a donc eu une violation des mes droits d’auteur posé par l’article L.111-1 du code de la propriété intellectuelle (CPI), ses infractions sont sanctionnées pénalement (CPI, art L.335-1 à L.335-10).
La personnalité exceptionnelle de Monsieur LEPORC René ne peut et ne doit surtout pas être confondue avec son homonyme le directeur de la compagnie maritime « The Boy’s Maritime Company » qui a organisé le 13/09/08 à HO CHI MINH Ville au Vietnam en partenariat avec le Bureau Economique du Consulat Général de France, le projet JANUS, alors que notre éditeur a déjà un mandat d’arrêt international pour escroquerie dans ses valises et se serait réfugié dans ce même pays grâce à de nombreuses complicités.

Cordialement, VERDI P
EMAIL : SERMENTPV@GMAIL.COM

PS : Copie adressée à la chaîne judiciaire.

HO CHI MINH VILLE LEPORC CONSULAT FRANCE

Mr VERDI Patrice
C/O Mr VERDI Marcel
Résidence ithaque
34 rue renée dunan
06150 CANNES LA BOCCA
04 93 90 31 85
06 62 75 73 47
Monsieur VERDI Patrice Cannes le 07/ 11 / 08
à
Monsieur le Procureur du Tribunal de Grande Instance de Grasse
37 av Pierre Sémard BP 71029
06130 GRASSE
TEL : 04 92 60 72 00 Fax : 04 92 60 72 35
Monsieur le Procureur,
Suite à ma LR avec AR en date du 14/10/08 concernant ma plainte pour escroquerie contre Monsieur LEPORC à laquelle vous n’avez toujours pas répondu , je tiens à vous rappeler une partie des termes de cette dernière en précisant certains points :
Fonctionnaire de Police depuis 1993, j’ai proposé en 1997 un manuscrit intitulé ‘Le serment d’hypocrite’ à Monsieur LEPORC alias René DELERINS, qui tenait une société d’édition rue montaigne à CANNES ; après avoir organisé un certain battage médiatique régional et même national sur ma personne, ma fonction et mon livre car je représentais un auteur atypique qui passait finalement du « bâton à la plume » ; Monsieur LEPORC m’a fait signer un contrat d’édition qui m’assurait 10% de droits d’auteur sur les ventes de mon livre puis m’a affirmé qu’il devait faire enregistrer le document chez un notaire avant de me le rendre. Ensuite , plus de nouvelles, la société avait soi-disant fermé et Monsieur LEPORC avait disparu de la circulation. Il y a quelques mois, j’entends à la radio que ce Monsieur a été condamné par le TGI de GRASSE à payer des dommages et intérêts très importants à Michèle MERCIER pour escroquerie car il était également son éditeur à cette époque, j’ai alors entrepris de petites recherches et je me suis retrouvé en vente et disponible sur la FNAC depuis 08/1998 avec le même éditeur et N°ISBN de l’exemplaire initial de mon livre émis par cette société en mon nom et que j’ai toujours en ma possession.J’ai donc depuis 1997 été toujours en vente et je n’ai jamais perçu aucun droits d’auteur sur mon oeuvre, il y a donc eu une violation des mes droits d’auteur posé par l’article L.111-1 du code de la propriété intellectuelle (CPI), ses infractions sont sanctionnées pénalement (CPI, art L.335-1 à L.335-10).
La personnalité exceptionnelle de Monsieur LEPORC René ne peut et ne doit surtout pas être confondue avec son homonyme le directeur de la compagnie maritime « The Boy’s Maritime Company » qui a organisé le 13/09/08 à HO CHI MINH Ville au Vietnam en partenariat avec le Bureau Economique du Consulat Général de France, le projet JANUS, alors que notre éditeur a déjà un mandat d’arrêt international pour escroquerie dans ses valises et se serait réfugié dans ce même pays grâce à de nombreuses complicités.

Cordialement, VERDI P
EMAIL : SERMENTPV@GMAIL.COM

PS : Copie adressée à la chaîne judiciaire.

HO CHI MINH VILLE LEPORC CONSULAT FRANCE

Mr VERDI Patrice
C/O Mr VERDI Marcel
Résidence ithaque
34 rue renée dunan
06150 CANNES LA BOCCA
04 93 90 31 85
06 62 75 73 47
Monsieur VERDI Patrice Cannes le 07/ 11 / 08
à
Monsieur le Procureur du Tribunal de Grande Instance de Grasse
37 av Pierre Sémard BP 71029
06130 GRASSE
TEL : 04 92 60 72 00 Fax : 04 92 60 72 35
Monsieur le Procureur,
Suite à ma LR avec AR en date du 14/10/08 concernant ma plainte pour escroquerie contre Monsieur LEPORC à laquelle vous n’avez toujours pas répondu , je tiens à vous rappeler une partie des termes de cette dernière en précisant certains points :
Fonctionnaire de Police depuis 1993, j’ai proposé en 1997 un manuscrit intitulé ‘Le serment d’hypocrite’ à Monsieur LEPORC alias René DELERINS, qui tenait une société d’édition rue montaigne à CANNES ; après avoir organisé un certain battage médiatique régional et même national sur ma personne, ma fonction et mon livre car je représentais un auteur atypique qui passait finalement du « bâton à la plume » ; Monsieur LEPORC m’a fait signer un contrat d’édition qui m’assurait 10% de droits d’auteur sur les ventes de mon livre puis m’a affirmé qu’il devait faire enregistrer le document chez un notaire avant de me le rendre. Ensuite , plus de nouvelles, la société avait soi-disant fermé et Monsieur LEPORC avait disparu de la circulation. Il y a quelques mois, j’entends à la radio que ce Monsieur a été condamné par le TGI de GRASSE à payer des dommages et intérêts très importants à Michèle MERCIER pour escroquerie car il était également son éditeur à cette époque, j’ai alors entrepris de petites recherches et je me suis retrouvé en vente et disponible sur la FNAC depuis 08/1998 avec le même éditeur et N°ISBN de l’exemplaire initial de mon livre émis par cette société en mon nom et que j’ai toujours en ma possession.J’ai donc depuis 1997 été toujours en vente et je n’ai jamais perçu aucun droits d’auteur sur mon oeuvre, il y a donc eu une violation des mes droits d’auteur posé par l’article L.111-1 du code de la propriété intellectuelle (CPI), ses infractions sont sanctionnées pénalement (CPI, art L.335-1 à L.335-10).
La personnalité exceptionnelle de Monsieur LEPORC René ne peut et ne doit surtout pas être confondue avec son homonyme le directeur de la compagnie maritime « The Boy’s Maritime Company » qui a organisé le 13/09/08 à HO CHI MINH Ville au Vietnam en partenariat avec le Bureau Economique du Consulat Général de France, le projet JANUS, alors que notre éditeur a déjà un mandat d’arrêt international pour escroquerie dans ses valises et se serait réfugié dans ce même pays grâce à de nombreuses complicités.

Cordialement, VERDI P
EMAIL : SERMENTPV@GMAIL.COM

PS : Copie adressée à la chaîne judiciaire.

HO CHI MINH VILLE LEPORC CONSULAT FRANCE

Mr VERDI Patrice
C/O Mr VERDI Marcel
Résidence ithaque
34 rue renée dunan
06150 CANNES LA BOCCA
04 93 90 31 85
06 62 75 73 47
Monsieur VERDI Patrice Cannes le 07/ 11 / 08
à
Monsieur le Procureur du Tribunal de Grande Instance de Grasse
37 av Pierre Sémard BP 71029
06130 GRASSE
TEL : 04 92 60 72 00 Fax : 04 92 60 72 35
Monsieur le Procureur,
Suite à ma LR avec AR en date du 14/10/08 concernant ma plainte pour escroquerie contre Monsieur LEPORC à laquelle vous n’avez toujours pas répondu , je tiens à vous rappeler une partie des termes de cette dernière en précisant certains points :
Fonctionnaire de Police depuis 1993, j’ai proposé en 1997 un manuscrit intitulé ‘Le serment d’hypocrite’ à Monsieur LEPORC alias René DELERINS, qui tenait une société d’édition rue montaigne à CANNES ; après avoir organisé un certain battage médiatique régional et même national sur ma personne, ma fonction et mon livre car je représentais un auteur atypique qui passait finalement du « bâton à la plume » ; Monsieur LEPORC m’a fait signer un contrat d’édition qui m’assurait 10% de droits d’auteur sur les ventes de mon livre puis m’a affirmé qu’il devait faire enregistrer le document chez un notaire avant de me le rendre. Ensuite , plus de nouvelles, la société avait soi-disant fermé et Monsieur LEPORC avait disparu de la circulation. Il y a quelques mois, j’entends à la radio que ce Monsieur a été condamné par le TGI de GRASSE à payer des dommages et intérêts très importants à Michèle MERCIER pour escroquerie car il était également son éditeur à cette époque, j’ai alors entrepris de petites recherches et je me suis retrouvé en vente et disponible sur la FNAC depuis 08/1998 avec le même éditeur et N°ISBN de l’exemplaire initial de mon livre émis par cette société en mon nom et que j’ai toujours en ma possession.J’ai donc depuis 1997 été toujours en vente et je n’ai jamais perçu aucun droits d’auteur sur mon oeuvre, il y a donc eu une violation des mes droits d’auteur posé par l’article L.111-1 du code de la propriété intellectuelle (CPI), ses infractions sont sanctionnées pénalement (CPI, art L.335-1 à L.335-10).
La personnalité exceptionnelle de Monsieur LEPORC René ne peut et ne doit surtout pas être confondue avec son homonyme le directeur de la compagnie maritime « The Boy’s Maritime Company » qui a organisé le 13/09/08 à HO CHI MINH Ville au Vietnam en partenariat avec le Bureau Economique du Consulat Général de France, le projet JANUS, alors que notre éditeur a déjà un mandat d’arrêt international pour escroquerie dans ses valises et se serait réfugié dans ce même pays grâce à de nombreuses complicités.

Cordialement, VERDI P
EMAIL : SERMENTPV@GMAIL.COM

PS : Copie adressée à la chaîne judiciaire.

MEMOIRE TA NICE PM CANNES

Monsieur VERDI Patrice
A
Monsieur le Président
Mesdames et Messieurs les Conseillers
Composant la 4éme Chambre
Du Tribunal Administratif de Nice


Instance : n°0605808-4


MEMOIRE

POUR

Monsieur VERDI Patrice
Chez Mr Marcel VERDI
34 rue René Dunan
06150 CANNES LA BOCCA

CONTRE

La ville de CANNES, représentée par son Député-Maire, Monsieur Bernard BROCHAND, agissant en vertu de la délibération du Conseil Municipal du 5 avril 2001, modifiée par celle du 10 Janvier 2002, prise dans le cadre de l’article L.2122-22 du Code Général des Collectivités Territoriales.
Le mémoire en défense en date du 13 Juin 2007 émis par la commune de CANNES précise que Monsieur VERDI Patrice, Brigadier Chef à la Police Municipale a été suspendu de ses fonctions depuis le 1er décembre 2001, suite à plusieurs délits et au retrait de son agrément préfectoral en qualité de policier municipal.
Dans la première affaire, c'est-à-dire l’affaire qui oppose Monsieur VERDI Patrice à un collègue de travail Monsieur DI-SEGNA thierry en service comme lui-même, le conseil de discipline réunie le 15 mai 2002 en vue de se prononcer sur la révocation de Monsieur VERDI Patrice a décidé de suspendre la procédure jusqu’à ce que la procédure pénale soit arrivée à son terme.
Or, le mémoire produit par la ville de CANNES précise que c’est chose faite ce qui est entièrement faux car les nombreux disfonctionnements judiciaires flagrants et constatés ont conduit légitimement Monsieur Désert, Procureur de la république de GRASSE, a demandé un nouveau jugement de cette affaire devant la cour d’appel d’aix en provence en prenant en compte l’opposition de Monsieur VERDI Patrice à l’arrêt de la cour d’appel du 15 décembre 2003.
La signification par huissier de justice de ce nouvel arrêt de la cour d’appel d’Aix en Provence en date du 18 juin 2007, qui annule le précédent arrêt de la cour d’appel d’Aix en Provence en date du 15 décembre 2003, permet donc à l’heure actuelle à Monsieur VERDI Patrice de poursuivre l’action pénale jusqu’à la cour européenne de justice s’il le souhaite comme le prévoit son conseil qui considère qu’il y a eu une atteinte délibérée et flagrante de ses droits à la défense par ce que l’on peut qualifier de délit de justice commis par l’ancien procureur de la république Monsieur DOUMAS qui a d’ailleurs retenu la plainte de Monsieur DI-SEGNA pour de simples insultes proférées sous l’effet de la colère contre un collègue de travail durant son service alors qu’il a paradoxalement classé sans suite la plainte de Monsieur VERDI Patrice contre Monsieur le Chef de Police Armand GROUX qui avait placé son arme de service sur la tempe de Monsieur VERDI Patrice en disant qu’il allait lui faire sauter la tête et cela devant un témoin assermenté.
Le code de Procédure Pénale a donc permis à Monsieur DOUMAS, Procureur de la République à GRASSE, de classer sans suite la plainte de Monsieur VERDI Patrice alors qu’il savait que Monsieur GROUX avait également braqué d’autres collègues du service de nuit et qu’un rapport de Police avait été émis par le Chef de Poste de la Police Municipale de CANNES contre ce fonctionnaire conduit dans les locaux du commissariat central le jour même.
Monsieur Armand GROUX n’a donc jamais été inquiété pour cette tentative d’homicide volontaire contre Monsieur VERDI Patrice.
La procédure pénale est donc bien loin d’être arrivée à son terme en ce qui concerne cette première affaire.
La commission administrative paritaire doit donc attendre le terme de cette procédure pénale pour se prononcer sur la radiation des cadres de Monsieur VERDI Patrice.

En ce qui concerne la seconde affaire c'est-à-dire l’affaire RACCA, il y a lieu de préciser certains faits qui s’insèreront parfaitement dans la continuité de ce mémoire.

Monsieur VERDI Patrice et ce n’est malheureusement pas précisé dans le mémoire de défense, bénéficie de la loi d’amnistie N°2002-1062 promulguée le 06/08/02 qui supprime toutes peines d’emprisonnement inférieures ou égales à six mois avec application de sursis simple.

Il y a lieu de préciser également certains faits troublants apparus par l’étude approfondie du dossier d’instruction de Monsieur VERDI Patrice :

Monsieur VERDI Patrice a été obligé de se soumettre à une injonction thérapeutique suite à sa mise en détention provisoire à la centrale de DRAGUIGNAN.

Par ailleurs, Monsieur VERDI Patrice possède donc un certificat sur son excellente santé mentale émis par le Docteur ROURE en date du 17 Mai 2002.

Il est également à signaler que Monsieur VERDI Patrice n’a jamais pu obtenir la moindre confrontation entre les parties concernées, ce qui représente un obstacle majeur à l’instruction du dossier.

Monsieur VERDI Patrice a signalé à Monsieur le Procureur Général lors de son jugement devant la cour d’appel d’aix en provence que le témoin présenté comme le fils de Monsieur RACCA et qu’il n’avait jamais rencontré auparavant faisait état du départ de l’accusé Monsieur VERDI Patrice le mercredi matin, ce qui est complètement faux car la requête de Monsieur RACCA pour une enquête sur sa propre fille a été demandée à Monsieur VERDI Patrice le vendredi soir afin qu’il parte pour PARIS le lendemain matin sans d’ailleurs lui laisser un délai de réflexion nécessaire qui aurait certainement évité tous ces problèmes.


Le Procureur Général a rétorqué à Monsieur VERDI Patrice durant son procès :

« Lundi, mardi, vendredi, peu importe le jour »

Signalons également que l’intégralité des discussions téléphoniques entre Monsieur VERDI Patrice et Monsieur RACCA ont été enregistrées par ce dernier jusqu’à la mise en examen de
Monsieur VERDI Patrice.

Il est donc évident qu’un pourvoi devant la cour européenne de justice est à envisager ; il y a donc un lien évident entre l’ensemble de ces faits qui démontrent une fois de plus une machination politico-judiciaire dont la causalité sera certainement dévoilée un jour prochain par des médias courageux ou par le conseil supérieur de la magistrature.

Donc en ce qui concerne cette seconde affaire, il est évident que la procédure n’est pas terminée, au contraire, elle débute dans un souci de défense des intérêts de Monsieur VERDI Patrice.

Signalons également, que la décision prise par le tribunal administratif en date du 15 mai 2002 qui demande la réintégration de Monsieur VERDI Patrice au sein des services municipaux en vertu de la présomption d’innocence, n’a jamais été appliquée par Monsieur le Maire de CANNES, précipitant de ce fait Monsieur VERDI Patrice et sa famille dans une situation économique intolérable de survie avec un salaire moyen mensuel de 1000 euros depuis 2001.

Je joins une copie des lettres en date du 03/11/06 envoyées à Monsieur le Procureur de la République ainsi qu’à Monsieur le Préfet qui ont précédé la demande de création d’une nouvelle carte à la mutuelle nationale territoriale le 10/11/06 car les droits de Monsieur VERDI Patrice, de sa femme et de ses deux enfants âgés de huit et trois ans avaient été annulés sans aucune explication ni préavis.


PAR CES MOTIFS

Et tous autres à produire, déduire ou suppléer, au besoin même d’office, l’exposant conclut à la justification de la requête de Monsieur VERDI Patrice.


Fait à CANNES le 27/06/07



VERDI P

MEMOIRE TA NICE PM CANNES

Monsieur VERDI Patrice
A
Monsieur le Président
Mesdames et Messieurs les Conseillers
Composant la 4éme Chambre
Du Tribunal Administratif de Nice


Instance : n°0605808-4


MEMOIRE

POUR

Monsieur VERDI Patrice
Chez Mr Marcel VERDI
34 rue René Dunan
06150 CANNES LA BOCCA

CONTRE

La ville de CANNES, représentée par son Député-Maire, Monsieur Bernard BROCHAND, agissant en vertu de la délibération du Conseil Municipal du 5 avril 2001, modifiée par celle du 10 Janvier 2002, prise dans le cadre de l’article L.2122-22 du Code Général des Collectivités Territoriales.
Le mémoire en défense en date du 13 Juin 2007 émis par la commune de CANNES précise que Monsieur VERDI Patrice, Brigadier Chef à la Police Municipale a été suspendu de ses fonctions depuis le 1er décembre 2001, suite à plusieurs délits et au retrait de son agrément préfectoral en qualité de policier municipal.
Dans la première affaire, c'est-à-dire l’affaire qui oppose Monsieur VERDI Patrice à un collègue de travail Monsieur DI-SEGNA thierry en service comme lui-même, le conseil de discipline réunie le 15 mai 2002 en vue de se prononcer sur la révocation de Monsieur VERDI Patrice a décidé de suspendre la procédure jusqu’à ce que la procédure pénale soit arrivée à son terme.
Or, le mémoire produit par la ville de CANNES précise que c’est chose faite ce qui est entièrement faux car les nombreux disfonctionnements judiciaires flagrants et constatés ont conduit légitimement Monsieur Désert, Procureur de la république de GRASSE, a demandé un nouveau jugement de cette affaire devant la cour d’appel d’aix en provence en prenant en compte l’opposition de Monsieur VERDI Patrice à l’arrêt de la cour d’appel du 15 décembre 2003.
La signification par huissier de justice de ce nouvel arrêt de la cour d’appel d’Aix en Provence en date du 18 juin 2007, qui annule le précédent arrêt de la cour d’appel d’Aix en Provence en date du 15 décembre 2003, permet donc à l’heure actuelle à Monsieur VERDI Patrice de poursuivre l’action pénale jusqu’à la cour européenne de justice s’il le souhaite comme le prévoit son conseil qui considère qu’il y a eu une atteinte délibérée et flagrante de ses droits à la défense par ce que l’on peut qualifier de délit de justice commis par l’ancien procureur de la république Monsieur DOUMAS qui a d’ailleurs retenu la plainte de Monsieur DI-SEGNA pour de simples insultes proférées sous l’effet de la colère contre un collègue de travail durant son service alors qu’il a paradoxalement classé sans suite la plainte de Monsieur VERDI Patrice contre Monsieur le Chef de Police Armand GROUX qui avait placé son arme de service sur la tempe de Monsieur VERDI Patrice en disant qu’il allait lui faire sauter la tête et cela devant un témoin assermenté.
Le code de Procédure Pénale a donc permis à Monsieur DOUMAS, Procureur de la République à GRASSE, de classer sans suite la plainte de Monsieur VERDI Patrice alors qu’il savait que Monsieur GROUX avait également braqué d’autres collègues du service de nuit et qu’un rapport de Police avait été émis par le Chef de Poste de la Police Municipale de CANNES contre ce fonctionnaire conduit dans les locaux du commissariat central le jour même.
Monsieur Armand GROUX n’a donc jamais été inquiété pour cette tentative d’homicide volontaire contre Monsieur VERDI Patrice.
La procédure pénale est donc bien loin d’être arrivée à son terme en ce qui concerne cette première affaire.
La commission administrative paritaire doit donc attendre le terme de cette procédure pénale pour se prononcer sur la radiation des cadres de Monsieur VERDI Patrice.

En ce qui concerne la seconde affaire c'est-à-dire l’affaire RACCA, il y a lieu de préciser certains faits qui s’insèreront parfaitement dans la continuité de ce mémoire.

Monsieur VERDI Patrice et ce n’est malheureusement pas précisé dans le mémoire de défense, bénéficie de la loi d’amnistie N°2002-1062 promulguée le 06/08/02 qui supprime toutes peines d’emprisonnement inférieures ou égales à six mois avec application de sursis simple.

Il y a lieu de préciser également certains faits troublants apparus par l’étude approfondie du dossier d’instruction de Monsieur VERDI Patrice :

Monsieur VERDI Patrice a été obligé de se soumettre à une injonction thérapeutique suite à sa mise en détention provisoire à la centrale de DRAGUIGNAN.

Par ailleurs, Monsieur VERDI Patrice possède donc un certificat sur son excellente santé mentale émis par le Docteur ROURE en date du 17 Mai 2002.

Il est également à signaler que Monsieur VERDI Patrice n’a jamais pu obtenir la moindre confrontation entre les parties concernées, ce qui représente un obstacle majeur à l’instruction du dossier.

Monsieur VERDI Patrice a signalé à Monsieur le Procureur Général lors de son jugement devant la cour d’appel d’aix en provence que le témoin présenté comme le fils de Monsieur RACCA et qu’il n’avait jamais rencontré auparavant faisait état du départ de l’accusé Monsieur VERDI Patrice le mercredi matin, ce qui est complètement faux car la requête de Monsieur RACCA pour une enquête sur sa propre fille a été demandée à Monsieur VERDI Patrice le vendredi soir afin qu’il parte pour PARIS le lendemain matin sans d’ailleurs lui laisser un délai de réflexion nécessaire qui aurait certainement évité tous ces problèmes.


Le Procureur Général a rétorqué à Monsieur VERDI Patrice durant son procès :

« Lundi, mardi, vendredi, peu importe le jour »

Signalons également que l’intégralité des discussions téléphoniques entre Monsieur VERDI Patrice et Monsieur RACCA ont été enregistrées par ce dernier jusqu’à la mise en examen de
Monsieur VERDI Patrice.

Il est donc évident qu’un pourvoi devant la cour européenne de justice est à envisager ; il y a donc un lien évident entre l’ensemble de ces faits qui démontrent une fois de plus une machination politico-judiciaire dont la causalité sera certainement dévoilée un jour prochain par des médias courageux ou par le conseil supérieur de la magistrature.

Donc en ce qui concerne cette seconde affaire, il est évident que la procédure n’est pas terminée, au contraire, elle débute dans un souci de défense des intérêts de Monsieur VERDI Patrice.

Signalons également, que la décision prise par le tribunal administratif en date du 15 mai 2002 qui demande la réintégration de Monsieur VERDI Patrice au sein des services municipaux en vertu de la présomption d’innocence, n’a jamais été appliquée par Monsieur le Maire de CANNES, précipitant de ce fait Monsieur VERDI Patrice et sa famille dans une situation économique intolérable de survie avec un salaire moyen mensuel de 1000 euros depuis 2001.

Je joins une copie des lettres en date du 03/11/06 envoyées à Monsieur le Procureur de la République ainsi qu’à Monsieur le Préfet qui ont précédé la demande de création d’une nouvelle carte à la mutuelle nationale territoriale le 10/11/06 car les droits de Monsieur VERDI Patrice, de sa femme et de ses deux enfants âgés de huit et trois ans avaient été annulés sans aucune explication ni préavis.


PAR CES MOTIFS

Et tous autres à produire, déduire ou suppléer, au besoin même d’office, l’exposant conclut à la justification de la requête de Monsieur VERDI Patrice.


Fait à CANNES le 27/06/07



VERDI P

MEMOIRE TA NICE PM CANNES

Monsieur VERDI Patrice
A
Monsieur le Président
Mesdames et Messieurs les Conseillers
Composant la 4éme Chambre
Du Tribunal Administratif de Nice


Instance : n°0605808-4


MEMOIRE

POUR

Monsieur VERDI Patrice
Chez Mr Marcel VERDI
34 rue René Dunan
06150 CANNES LA BOCCA

CONTRE

La ville de CANNES, représentée par son Député-Maire, Monsieur Bernard BROCHAND, agissant en vertu de la délibération du Conseil Municipal du 5 avril 2001, modifiée par celle du 10 Janvier 2002, prise dans le cadre de l’article L.2122-22 du Code Général des Collectivités Territoriales.
Le mémoire en défense en date du 13 Juin 2007 émis par la commune de CANNES précise que Monsieur VERDI Patrice, Brigadier Chef à la Police Municipale a été suspendu de ses fonctions depuis le 1er décembre 2001, suite à plusieurs délits et au retrait de son agrément préfectoral en qualité de policier municipal.
Dans la première affaire, c'est-à-dire l’affaire qui oppose Monsieur VERDI Patrice à un collègue de travail Monsieur DI-SEGNA thierry en service comme lui-même, le conseil de discipline réunie le 15 mai 2002 en vue de se prononcer sur la révocation de Monsieur VERDI Patrice a décidé de suspendre la procédure jusqu’à ce que la procédure pénale soit arrivée à son terme.
Or, le mémoire produit par la ville de CANNES précise que c’est chose faite ce qui est entièrement faux car les nombreux disfonctionnements judiciaires flagrants et constatés ont conduit légitimement Monsieur Désert, Procureur de la république de GRASSE, a demandé un nouveau jugement de cette affaire devant la cour d’appel d’aix en provence en prenant en compte l’opposition de Monsieur VERDI Patrice à l’arrêt de la cour d’appel du 15 décembre 2003.
La signification par huissier de justice de ce nouvel arrêt de la cour d’appel d’Aix en Provence en date du 18 juin 2007, qui annule le précédent arrêt de la cour d’appel d’Aix en Provence en date du 15 décembre 2003, permet donc à l’heure actuelle à Monsieur VERDI Patrice de poursuivre l’action pénale jusqu’à la cour européenne de justice s’il le souhaite comme le prévoit son conseil qui considère qu’il y a eu une atteinte délibérée et flagrante de ses droits à la défense par ce que l’on peut qualifier de délit de justice commis par l’ancien procureur de la république Monsieur DOUMAS qui a d’ailleurs retenu la plainte de Monsieur DI-SEGNA pour de simples insultes proférées sous l’effet de la colère contre un collègue de travail durant son service alors qu’il a paradoxalement classé sans suite la plainte de Monsieur VERDI Patrice contre Monsieur le Chef de Police Armand GROUX qui avait placé son arme de service sur la tempe de Monsieur VERDI Patrice en disant qu’il allait lui faire sauter la tête et cela devant un témoin assermenté.
Le code de Procédure Pénale a donc permis à Monsieur DOUMAS, Procureur de la République à GRASSE, de classer sans suite la plainte de Monsieur VERDI Patrice alors qu’il savait que Monsieur GROUX avait également braqué d’autres collègues du service de nuit et qu’un rapport de Police avait été émis par le Chef de Poste de la Police Municipale de CANNES contre ce fonctionnaire conduit dans les locaux du commissariat central le jour même.
Monsieur Armand GROUX n’a donc jamais été inquiété pour cette tentative d’homicide volontaire contre Monsieur VERDI Patrice.
La procédure pénale est donc bien loin d’être arrivée à son terme en ce qui concerne cette première affaire.
La commission administrative paritaire doit donc attendre le terme de cette procédure pénale pour se prononcer sur la radiation des cadres de Monsieur VERDI Patrice.

En ce qui concerne la seconde affaire c'est-à-dire l’affaire RACCA, il y a lieu de préciser certains faits qui s’insèreront parfaitement dans la continuité de ce mémoire.

Monsieur VERDI Patrice et ce n’est malheureusement pas précisé dans le mémoire de défense, bénéficie de la loi d’amnistie N°2002-1062 promulguée le 06/08/02 qui supprime toutes peines d’emprisonnement inférieures ou égales à six mois avec application de sursis simple.

Il y a lieu de préciser également certains faits troublants apparus par l’étude approfondie du dossier d’instruction de Monsieur VERDI Patrice :

Monsieur VERDI Patrice a été obligé de se soumettre à une injonction thérapeutique suite à sa mise en détention provisoire à la centrale de DRAGUIGNAN.

Par ailleurs, Monsieur VERDI Patrice possède donc un certificat sur son excellente santé mentale émis par le Docteur ROURE en date du 17 Mai 2002.

Il est également à signaler que Monsieur VERDI Patrice n’a jamais pu obtenir la moindre confrontation entre les parties concernées, ce qui représente un obstacle majeur à l’instruction du dossier.

Monsieur VERDI Patrice a signalé à Monsieur le Procureur Général lors de son jugement devant la cour d’appel d’aix en provence que le témoin présenté comme le fils de Monsieur RACCA et qu’il n’avait jamais rencontré auparavant faisait état du départ de l’accusé Monsieur VERDI Patrice le mercredi matin, ce qui est complètement faux car la requête de Monsieur RACCA pour une enquête sur sa propre fille a été demandée à Monsieur VERDI Patrice le vendredi soir afin qu’il parte pour PARIS le lendemain matin sans d’ailleurs lui laisser un délai de réflexion nécessaire qui aurait certainement évité tous ces problèmes.


Le Procureur Général a rétorqué à Monsieur VERDI Patrice durant son procès :

« Lundi, mardi, vendredi, peu importe le jour »

Signalons également que l’intégralité des discussions téléphoniques entre Monsieur VERDI Patrice et Monsieur RACCA ont été enregistrées par ce dernier jusqu’à la mise en examen de
Monsieur VERDI Patrice.

Il est donc évident qu’un pourvoi devant la cour européenne de justice est à envisager ; il y a donc un lien évident entre l’ensemble de ces faits qui démontrent une fois de plus une machination politico-judiciaire dont la causalité sera certainement dévoilée un jour prochain par des médias courageux ou par le conseil supérieur de la magistrature.

Donc en ce qui concerne cette seconde affaire, il est évident que la procédure n’est pas terminée, au contraire, elle débute dans un souci de défense des intérêts de Monsieur VERDI Patrice.

Signalons également, que la décision prise par le tribunal administratif en date du 15 mai 2002 qui demande la réintégration de Monsieur VERDI Patrice au sein des services municipaux en vertu de la présomption d’innocence, n’a jamais été appliquée par Monsieur le Maire de CANNES, précipitant de ce fait Monsieur VERDI Patrice et sa famille dans une situation économique intolérable de survie avec un salaire moyen mensuel de 1000 euros depuis 2001.

Je joins une copie des lettres en date du 03/11/06 envoyées à Monsieur le Procureur de la République ainsi qu’à Monsieur le Préfet qui ont précédé la demande de création d’une nouvelle carte à la mutuelle nationale territoriale le 10/11/06 car les droits de Monsieur VERDI Patrice, de sa femme et de ses deux enfants âgés de huit et trois ans avaient été annulés sans aucune explication ni préavis.


PAR CES MOTIFS

Et tous autres à produire, déduire ou suppléer, au besoin même d’office, l’exposant conclut à la justification de la requête de Monsieur VERDI Patrice.


Fait à CANNES le 27/06/07



VERDI P

MEMOIRE TA NICE PM CANNES

Monsieur VERDI Patrice
A
Monsieur le Président
Mesdames et Messieurs les Conseillers
Composant la 4éme Chambre
Du Tribunal Administratif de Nice


Instance : n°0605808-4


MEMOIRE

POUR

Monsieur VERDI Patrice
Chez Mr Marcel VERDI
34 rue René Dunan
06150 CANNES LA BOCCA

CONTRE

La ville de CANNES, représentée par son Député-Maire, Monsieur Bernard BROCHAND, agissant en vertu de la délibération du Conseil Municipal du 5 avril 2001, modifiée par celle du 10 Janvier 2002, prise dans le cadre de l’article L.2122-22 du Code Général des Collectivités Territoriales.
Le mémoire en défense en date du 13 Juin 2007 émis par la commune de CANNES précise que Monsieur VERDI Patrice, Brigadier Chef à la Police Municipale a été suspendu de ses fonctions depuis le 1er décembre 2001, suite à plusieurs délits et au retrait de son agrément préfectoral en qualité de policier municipal.
Dans la première affaire, c'est-à-dire l’affaire qui oppose Monsieur VERDI Patrice à un collègue de travail Monsieur DI-SEGNA thierry en service comme lui-même, le conseil de discipline réunie le 15 mai 2002 en vue de se prononcer sur la révocation de Monsieur VERDI Patrice a décidé de suspendre la procédure jusqu’à ce que la procédure pénale soit arrivée à son terme.
Or, le mémoire produit par la ville de CANNES précise que c’est chose faite ce qui est entièrement faux car les nombreux disfonctionnements judiciaires flagrants et constatés ont conduit légitimement Monsieur Désert, Procureur de la république de GRASSE, a demandé un nouveau jugement de cette affaire devant la cour d’appel d’aix en provence en prenant en compte l’opposition de Monsieur VERDI Patrice à l’arrêt de la cour d’appel du 15 décembre 2003.
La signification par huissier de justice de ce nouvel arrêt de la cour d’appel d’Aix en Provence en date du 18 juin 2007, qui annule le précédent arrêt de la cour d’appel d’Aix en Provence en date du 15 décembre 2003, permet donc à l’heure actuelle à Monsieur VERDI Patrice de poursuivre l’action pénale jusqu’à la cour européenne de justice s’il le souhaite comme le prévoit son conseil qui considère qu’il y a eu une atteinte délibérée et flagrante de ses droits à la défense par ce que l’on peut qualifier de délit de justice commis par l’ancien procureur de la république Monsieur DOUMAS qui a d’ailleurs retenu la plainte de Monsieur DI-SEGNA pour de simples insultes proférées sous l’effet de la colère contre un collègue de travail durant son service alors qu’il a paradoxalement classé sans suite la plainte de Monsieur VERDI Patrice contre Monsieur le Chef de Police Armand GROUX qui avait placé son arme de service sur la tempe de Monsieur VERDI Patrice en disant qu’il allait lui faire sauter la tête et cela devant un témoin assermenté.
Le code de Procédure Pénale a donc permis à Monsieur DOUMAS, Procureur de la République à GRASSE, de classer sans suite la plainte de Monsieur VERDI Patrice alors qu’il savait que Monsieur GROUX avait également braqué d’autres collègues du service de nuit et qu’un rapport de Police avait été émis par le Chef de Poste de la Police Municipale de CANNES contre ce fonctionnaire conduit dans les locaux du commissariat central le jour même.
Monsieur Armand GROUX n’a donc jamais été inquiété pour cette tentative d’homicide volontaire contre Monsieur VERDI Patrice.
La procédure pénale est donc bien loin d’être arrivée à son terme en ce qui concerne cette première affaire.
La commission administrative paritaire doit donc attendre le terme de cette procédure pénale pour se prononcer sur la radiation des cadres de Monsieur VERDI Patrice.

En ce qui concerne la seconde affaire c'est-à-dire l’affaire RACCA, il y a lieu de préciser certains faits qui s’insèreront parfaitement dans la continuité de ce mémoire.

Monsieur VERDI Patrice et ce n’est malheureusement pas précisé dans le mémoire de défense, bénéficie de la loi d’amnistie N°2002-1062 promulguée le 06/08/02 qui supprime toutes peines d’emprisonnement inférieures ou égales à six mois avec application de sursis simple.

Il y a lieu de préciser également certains faits troublants apparus par l’étude approfondie du dossier d’instruction de Monsieur VERDI Patrice :

Monsieur VERDI Patrice a été obligé de se soumettre à une injonction thérapeutique suite à sa mise en détention provisoire à la centrale de DRAGUIGNAN.

Par ailleurs, Monsieur VERDI Patrice possède donc un certificat sur son excellente santé mentale émis par le Docteur ROURE en date du 17 Mai 2002.

Il est également à signaler que Monsieur VERDI Patrice n’a jamais pu obtenir la moindre confrontation entre les parties concernées, ce qui représente un obstacle majeur à l’instruction du dossier.

Monsieur VERDI Patrice a signalé à Monsieur le Procureur Général lors de son jugement devant la cour d’appel d’aix en provence que le témoin présenté comme le fils de Monsieur RACCA et qu’il n’avait jamais rencontré auparavant faisait état du départ de l’accusé Monsieur VERDI Patrice le mercredi matin, ce qui est complètement faux car la requête de Monsieur RACCA pour une enquête sur sa propre fille a été demandée à Monsieur VERDI Patrice le vendredi soir afin qu’il parte pour PARIS le lendemain matin sans d’ailleurs lui laisser un délai de réflexion nécessaire qui aurait certainement évité tous ces problèmes.


Le Procureur Général a rétorqué à Monsieur VERDI Patrice durant son procès :

« Lundi, mardi, vendredi, peu importe le jour »

Signalons également que l’intégralité des discussions téléphoniques entre Monsieur VERDI Patrice et Monsieur RACCA ont été enregistrées par ce dernier jusqu’à la mise en examen de
Monsieur VERDI Patrice.

Il est donc évident qu’un pourvoi devant la cour européenne de justice est à envisager ; il y a donc un lien évident entre l’ensemble de ces faits qui démontrent une fois de plus une machination politico-judiciaire dont la causalité sera certainement dévoilée un jour prochain par des médias courageux ou par le conseil supérieur de la magistrature.

Donc en ce qui concerne cette seconde affaire, il est évident que la procédure n’est pas terminée, au contraire, elle débute dans un souci de défense des intérêts de Monsieur VERDI Patrice.

Signalons également, que la décision prise par le tribunal administratif en date du 15 mai 2002 qui demande la réintégration de Monsieur VERDI Patrice au sein des services municipaux en vertu de la présomption d’innocence, n’a jamais été appliquée par Monsieur le Maire de CANNES, précipitant de ce fait Monsieur VERDI Patrice et sa famille dans une situation économique intolérable de survie avec un salaire moyen mensuel de 1000 euros depuis 2001.

Je joins une copie des lettres en date du 03/11/06 envoyées à Monsieur le Procureur de la République ainsi qu’à Monsieur le Préfet qui ont précédé la demande de création d’une nouvelle carte à la mutuelle nationale territoriale le 10/11/06 car les droits de Monsieur VERDI Patrice, de sa femme et de ses deux enfants âgés de huit et trois ans avaient été annulés sans aucune explication ni préavis.


PAR CES MOTIFS

Et tous autres à produire, déduire ou suppléer, au besoin même d’office, l’exposant conclut à la justification de la requête de Monsieur VERDI Patrice.


Fait à CANNES le 27/06/07



VERDI P
Mr VERDI Patrice
C/O Mr VERDI Marcel
34 rue rené dunan
06150 CANNES LA BOCCA
TEL : 06 62 75 73 47
FAX : 09 56 09 40 26
Monsieur VERDI Patrice Cannes la Bocca le 19/10/08
A

Maître KARIM ACHOUI

· 10 Bd RASPAIL 75007 PARIS
TEL : 01 49 54 00 54
FAX : 01 49 54 00 55
Courriel : k.achoui@wanadoo.fr;
Maître ACHOUI,

J’ai l’honneur de vous écrire car j’ai assisté avec certains de mes amis à la détermination et au courage d’un homme de loi face à la machine administrative et judiciaire qui semble avoir déraillée une fois de plus dans l’affaire FERRARA pour des raisons politiques qui tiennent à focaliser l’information sur le fait que vous osiez défendre des voyous alors que certains de vos confrères se fourvoient régulièrement pour des hommes de pouvoir alors que des réseaux de pédophilie tenus par des criminels existent réellement et sont couverts par des magistrats, des politiques et parfois même d’autres fonctionnaires d’état.
Fonctionnaire de Police Municipale depuis 1993, marié, deux enfants, j’ai informatisé le service et j’ai publié mon premier essai philosophique intitulé « Le Serment D’hypocrite » aux éditions livres et images en 1997, en 2001alors que j’avais mis en place des réseaux d’influence afin de soutenir la candidature de Monsieur Bernard BROCHAND avec le soutien avisé et indispensable de Madame Louise Moreau Députée-Maire UDF contre son poulain Gilles CIMA, en diffusant principalement l’information par le biais d’un site internet dont l’URL était : NONPREVU.COM, j’ai participé à la victoire municipale et législative de Monsieur BROCHAND.
Eté 2001, je suis l’auteur d’un rapport de problème potentiel de pédophilie sur un individu qui prétend être un ami du Maire, je transmets la procédure au commissariat central de CANNES et demande à ce que le témoin fasse l’objet d’une audition car les faits déclarés sont d’une gravité extrême et mettent en cause des notables de la ville, de plus le témoin des faits, une jeune fille d’origine magrhébine, qui fait partie des orphelins d’auteuil se sent véritablement menacée.
Suite à ce rapport, j’ai rencontré deux personnes âgées particulièrement sympathiques qui ont fait l’éloge de la Police Cannoise et des institutions de la République et je les ai crues car ma culture privilégie l’écoute et le respect des anciens comme mes parents me l’ont transmise et l’ont acquise des leurs de l’autre coté de la méditerranée, en Tunisie dont ils sont natifs ; Les RACA m’ont demandé par la suite d’effectuer une enquête sur le petit ami de leur fille Fabienne en filant le couple à PARIS contre 3000€ , elles m’ont également demandé d’interroger le STIC en me donnant les coordonnées du petit ami en question, le dénommé Patrick BEYNES.
Je rentre de PARIS, je demande gracieusement à un ami Claude BENITA d’interroger le STIC et bingo le fameux petit ami a effectivement un casier, alors comment ces deux personnes auraient elles pu le deviner et comment ont elles eues les coordonnées complètes du fiancé, dans tous les cas, pour moi c’est l’arrestation, mon avocat me dit que ce n’est rien car mon dossier est vide, aucune plainte pour le STIC et il est affirmatif, dans deux heures je serai dehors, j’ai fait 44 jours de détention au QHS de DRAGUIGNAN avec deux autres détenus qui avaient perdu leur appétit de vivre et de manger alors que j’ai pris cinq kilos de plus, je n’ai jamais pu obtenir de confrontation avec les plaignants, ni au CC car ils avaient quitté la ville la veille, ni devant le magistrat instructeur, ni au TGI de GRASSE et encore moins à AIX ; j’ai tout de suite compris le lien évident qui existait avec mon rapport de pédophilie, je l’ai dit au juge instructeur Mme MAUGENDRE et c’est alors que mon propre défenseur Maître VALIERGUE a signé une injonction thérapeutique pour tenter de me faire interner sans toutefois y arriver car le Pr ROURE, expert psychiatre auprès de la cour d’appel d’AIX, m’a déclaré sain d’esprit et a ajouté furieusement et non pas curieusement : « c’est une affaire politique ! ».
Malgré la décision du 15 mai 2002 du TA de NICE concernant ma présomption d’innocence, je n’ai plus jamais travaillé, le Maire de CANNES a émis plus de cinq années de fausses fiches de paye, ensuite pour ma condamnation à AIX, j’ai bénéficié de la loi d’amnistie N°2002-1062 promulguée le 06/08/02 qui supprime toutes peines d’emprisonnement inférieures ou égales à six mois avec application de sursis simple car je pense que le président avait totalement cerné le problème mais quand j’ai parlé de pédophilie mon nouvel avocat a précisé que j’assumais seul mes déclarations puis ne m’a plus défendu en se taisant tout simplement devant les mensonges réitérés du ministère public et d’un témoin que je n’avais jamais vu ni entendu de ma vie.
Le maire a tout de même émis un arrêté de radiation le 10/11/06, j’ai formulé une requête en annulation pour ce dernier auprès du TA de NICE car il existe une violation de mes droits à la défense en vertu de l’article 4 du décret du JO N°84-961 du 25 octobre 1984 qui précise la durée nécessaire entre la convocation initiale du fonctionnaire incriminé dans la procédure disciplinaire et la mise en place de cette commission.
Ce délai est fixé à 15 jours au minimum or l’arrêté émis par Monsieur le Député Maire de CANNES le 12 Octobre 2006 précise que la lettre d’information en LR + AR envoyé par Monsieur Claude MORIN, adjoint au Député Maire de CANNES et délégué au personnel date du 14 Septembre 2006 et la réunion ainsi que la décision de la Commission Administrative Paritaire date du 26 Septembre 2006, il y a donc une violation manifeste du délai minimum de quinze jours des droits de la défense en vertu du décret précité.
Je suis donc dans l’attente d’une décision du président de la quatrième chambre du TA de NICE devant un vice de forme incontournable et je demande 450 000 € de dommages et intérêts à la ville de CANNES que je justifie dans mon mémoire en défense car je suis harcelé moralement et financièrement depuis des années, et que je dénonce par le dépôt de plaintes pour discriminations sociales, harcèlement moral et coalition de fonctionnaires engagées auprès des autorités judiciaires de tutelle et diffusées à l’ensemble des parlementaires des groupes d’opposition Français et Européens mais aussi vers tous les TGI et Préfecture de France afin de pérenniser d’autant plus l’effet publicitaire qui convient si bien à Monsieur le Député Maire de CANNES.
Je tiens toutefois à vous faire part du fait que tout peut arriver quand on s’attaque au dictat des frères BROCHAND et de leurs réseaux qui ont déplacé des préfets, muté des fonctionnaires de Police, et organisé la pompe à fric de l’UMP qui semble admettre la pédophilie comme une pratique normale car non seulement le témoin de mon rapport a été menacé, les rapports de police semblent avoir disparu mais en plus notre excellent procureur DOUMAS est devenu procureur général en raison de ses qualités professionnelles majeures en matière de classement vertical.
Fin de la partie pénale, afin de pérenniser toute forme de résistance au fascisme institutionnalisé qui pourrait se terminer en bavure policière ou en suicide maquillé pour ma personne ou ma famille.
Le CPI ou Code de la Propriété intellectuelle : Affaire d’argent et d’état !
En effet, en 1997, j’ai proposé un manuscrit intitulé ‘Le serment d’hypocrite’ à Monsieur LEPORC alias René DELERINS, qui tenait une société d’édition rue montaigne à CANNES, il m’a fait signer un contrat d’édition avec 10% de droits d’auteur puis m’a affirmé qu’il devait le faire enregistrer chez un notaire avant de me le rendre.
Ensuite, plus de nouvelles, la société avait soi-disant fermé et Monsieur LEPORC avait disparu de la circulation.
Il y a quelques mois, j’entends à la radio que ce Monsieur a été condamné par le TGI de GRASSE à payer des dommages et intérêts très importants à Michèle MERCIER pour escroquerie car il était aussi son éditeur.
J’ai alors entrepris de petites recherches et je me suis retrouvé en vente sur la FNAC, CHAPITRE, AMAZON, etc… avec le même éditeur et N°ISBN de départ et cela depuis 08/1998, j’ai également découvert certaines informations sur l’une de ses sociétés que je vous transmets en pièce jointe.
J’ai donc depuis 1997 été toujours en vente et je n’ai jamais perçu aucun droits d’auteur sur mon œuvre, LEPORC serait défendu par Maître VALIERGUE selon Michèle MERCIER et tiendrait d’après des amis placés, une sorte d’officine barbouzarde pour la piscine (DGSE), ce qui m’éclaire un peu mieux sur ce qui m’est arrivé.
J’espère premièrement que votre honneur sera restauré le 28 Novembre prochain pour le principe mais aussi afin de pouvoir compter éventuellement sur votre assistance juridique car je combats seul et le lien actuellement virtuel qui nous lie est la contestation d’un système fasciste qui supprime toute notion d’individualité au profit d’un collectif d’actionnaires invisibles mais particulièrement nuisibles actuellement, ainsi si vous acceptez de m’assister dans cette expérience profondément humaine devant le TA de NICE, nous pourrons alors user de votre notoriété ainsi que de l’article 761-1 du code de la justice administrative afin que vous décidiez du montant que vous tenez à percevoir par l’Etat pour vos talents de ténor incontestable du barreau devant un vice de forme incontestable qui va simplifier la procédure et nous permettra d’engager par la suite si vous le désirez , la procédure contre LEPORC pour violation du CPI.
Je vous prie de croire Maître ACHOUI, en l’expression de ma plus haute considération concernant la règlement rapide de nos injustices respectives qui obstruent provisoirement les portes d’une ascension sociale programmée mais certainement pas achevée ni pour vous, ni pour moi.

Cordialement, VERDI P

EMAIL : SERMENTPV@GMAIL.COM
PJ : 3
Mr VERDI Patrice
C/O Mr VERDI Marcel
34 rue rené dunan
06150 CANNES LA BOCCA
TEL : 06 62 75 73 47
FAX : 09 56 09 40 26
Monsieur VERDI Patrice Cannes la Bocca le 19/10/08
A

Maître KARIM ACHOUI

· 10 Bd RASPAIL 75007 PARIS
TEL : 01 49 54 00 54
FAX : 01 49 54 00 55
Courriel : k.achoui@wanadoo.fr;
Maître ACHOUI,

J’ai l’honneur de vous écrire car j’ai assisté avec certains de mes amis à la détermination et au courage d’un homme de loi face à la machine administrative et judiciaire qui semble avoir déraillée une fois de plus dans l’affaire FERRARA pour des raisons politiques qui tiennent à focaliser l’information sur le fait que vous osiez défendre des voyous alors que certains de vos confrères se fourvoient régulièrement pour des hommes de pouvoir alors que des réseaux de pédophilie tenus par des criminels existent réellement et sont couverts par des magistrats, des politiques et parfois même d’autres fonctionnaires d’état.
Fonctionnaire de Police Municipale depuis 1993, marié, deux enfants, j’ai informatisé le service et j’ai publié mon premier essai philosophique intitulé « Le Serment D’hypocrite » aux éditions livres et images en 1997, en 2001alors que j’avais mis en place des réseaux d’influence afin de soutenir la candidature de Monsieur Bernard BROCHAND avec le soutien avisé et indispensable de Madame Louise Moreau Députée-Maire UDF contre son poulain Gilles CIMA, en diffusant principalement l’information par le biais d’un site internet dont l’URL était : NONPREVU.COM, j’ai participé à la victoire municipale et législative de Monsieur BROCHAND.
Eté 2001, je suis l’auteur d’un rapport de problème potentiel de pédophilie sur un individu qui prétend être un ami du Maire, je transmets la procédure au commissariat central de CANNES et demande à ce que le témoin fasse l’objet d’une audition car les faits déclarés sont d’une gravité extrême et mettent en cause des notables de la ville, de plus le témoin des faits, une jeune fille d’origine magrhébine, qui fait partie des orphelins d’auteuil se sent véritablement menacée.
Suite à ce rapport, j’ai rencontré deux personnes âgées particulièrement sympathiques qui ont fait l’éloge de la Police Cannoise et des institutions de la République et je les ai crues car ma culture privilégie l’écoute et le respect des anciens comme mes parents me l’ont transmise et l’ont acquise des leurs de l’autre coté de la méditerranée, en Tunisie dont ils sont natifs ; Les RACA m’ont demandé par la suite d’effectuer une enquête sur le petit ami de leur fille Fabienne en filant le couple à PARIS contre 3000€ , elles m’ont également demandé d’interroger le STIC en me donnant les coordonnées du petit ami en question, le dénommé Patrick BEYNES.
Je rentre de PARIS, je demande gracieusement à un ami Claude BENITA d’interroger le STIC et bingo le fameux petit ami a effectivement un casier, alors comment ces deux personnes auraient elles pu le deviner et comment ont elles eues les coordonnées complètes du fiancé, dans tous les cas, pour moi c’est l’arrestation, mon avocat me dit que ce n’est rien car mon dossier est vide, aucune plainte pour le STIC et il est affirmatif, dans deux heures je serai dehors, j’ai fait 44 jours de détention au QHS de DRAGUIGNAN avec deux autres détenus qui avaient perdu leur appétit de vivre et de manger alors que j’ai pris cinq kilos de plus, je n’ai jamais pu obtenir de confrontation avec les plaignants, ni au CC car ils avaient quitté la ville la veille, ni devant le magistrat instructeur, ni au TGI de GRASSE et encore moins à AIX ; j’ai tout de suite compris le lien évident qui existait avec mon rapport de pédophilie, je l’ai dit au juge instructeur Mme MAUGENDRE et c’est alors que mon propre défenseur Maître VALIERGUE a signé une injonction thérapeutique pour tenter de me faire interner sans toutefois y arriver car le Pr ROURE, expert psychiatre auprès de la cour d’appel d’AIX, m’a déclaré sain d’esprit et a ajouté furieusement et non pas curieusement : « c’est une affaire politique ! ».
Malgré la décision du 15 mai 2002 du TA de NICE concernant ma présomption d’innocence, je n’ai plus jamais travaillé, le Maire de CANNES a émis plus de cinq années de fausses fiches de paye, ensuite pour ma condamnation à AIX, j’ai bénéficié de la loi d’amnistie N°2002-1062 promulguée le 06/08/02 qui supprime toutes peines d’emprisonnement inférieures ou égales à six mois avec application de sursis simple car je pense que le président avait totalement cerné le problème mais quand j’ai parlé de pédophilie mon nouvel avocat a précisé que j’assumais seul mes déclarations puis ne m’a plus défendu en se taisant tout simplement devant les mensonges réitérés du ministère public et d’un témoin que je n’avais jamais vu ni entendu de ma vie.
Le maire a tout de même émis un arrêté de radiation le 10/11/06, j’ai formulé une requête en annulation pour ce dernier auprès du TA de NICE car il existe une violation de mes droits à la défense en vertu de l’article 4 du décret du JO N°84-961 du 25 octobre 1984 qui précise la durée nécessaire entre la convocation initiale du fonctionnaire incriminé dans la procédure disciplinaire et la mise en place de cette commission.
Ce délai est fixé à 15 jours au minimum or l’arrêté émis par Monsieur le Député Maire de CANNES le 12 Octobre 2006 précise que la lettre d’information en LR + AR envoyé par Monsieur Claude MORIN, adjoint au Député Maire de CANNES et délégué au personnel date du 14 Septembre 2006 et la réunion ainsi que la décision de la Commission Administrative Paritaire date du 26 Septembre 2006, il y a donc une violation manifeste du délai minimum de quinze jours des droits de la défense en vertu du décret précité.
Je suis donc dans l’attente d’une décision du président de la quatrième chambre du TA de NICE devant un vice de forme incontournable et je demande 450 000 € de dommages et intérêts à la ville de CANNES que je justifie dans mon mémoire en défense car je suis harcelé moralement et financièrement depuis des années, et que je dénonce par le dépôt de plaintes pour discriminations sociales, harcèlement moral et coalition de fonctionnaires engagées auprès des autorités judiciaires de tutelle et diffusées à l’ensemble des parlementaires des groupes d’opposition Français et Européens mais aussi vers tous les TGI et Préfecture de France afin de pérenniser d’autant plus l’effet publicitaire qui convient si bien à Monsieur le Député Maire de CANNES.
Je tiens toutefois à vous faire part du fait que tout peut arriver quand on s’attaque au dictat des frères BROCHAND et de leurs réseaux qui ont déplacé des préfets, muté des fonctionnaires de Police, et organisé la pompe à fric de l’UMP qui semble admettre la pédophilie comme une pratique normale car non seulement le témoin de mon rapport a été menacé, les rapports de police semblent avoir disparu mais en plus notre excellent procureur DOUMAS est devenu procureur général en raison de ses qualités professionnelles majeures en matière de classement vertical.
Fin de la partie pénale, afin de pérenniser toute forme de résistance au fascisme institutionnalisé qui pourrait se terminer en bavure policière ou en suicide maquillé pour ma personne ou ma famille.
Le CPI ou Code de la Propriété intellectuelle : Affaire d’argent et d’état !
En effet, en 1997, j’ai proposé un manuscrit intitulé ‘Le serment d’hypocrite’ à Monsieur LEPORC alias René DELERINS, qui tenait une société d’édition rue montaigne à CANNES, il m’a fait signer un contrat d’édition avec 10% de droits d’auteur puis m’a affirmé qu’il devait le faire enregistrer chez un notaire avant de me le rendre.
Ensuite, plus de nouvelles, la société avait soi-disant fermé et Monsieur LEPORC avait disparu de la circulation.
Il y a quelques mois, j’entends à la radio que ce Monsieur a été condamné par le TGI de GRASSE à payer des dommages et intérêts très importants à Michèle MERCIER pour escroquerie car il était aussi son éditeur.
J’ai alors entrepris de petites recherches et je me suis retrouvé en vente sur la FNAC, CHAPITRE, AMAZON, etc… avec le même éditeur et N°ISBN de départ et cela depuis 08/1998, j’ai également découvert certaines informations sur l’une de ses sociétés que je vous transmets en pièce jointe.
J’ai donc depuis 1997 été toujours en vente et je n’ai jamais perçu aucun droits d’auteur sur mon œuvre, LEPORC serait défendu par Maître VALIERGUE selon Michèle MERCIER et tiendrait d’après des amis placés, une sorte d’officine barbouzarde pour la piscine (DGSE), ce qui m’éclaire un peu mieux sur ce qui m’est arrivé.
J’espère premièrement que votre honneur sera restauré le 28 Novembre prochain pour le principe mais aussi afin de pouvoir compter éventuellement sur votre assistance juridique car je combats seul et le lien actuellement virtuel qui nous lie est la contestation d’un système fasciste qui supprime toute notion d’individualité au profit d’un collectif d’actionnaires invisibles mais particulièrement nuisibles actuellement, ainsi si vous acceptez de m’assister dans cette expérience profondément humaine devant le TA de NICE, nous pourrons alors user de votre notoriété ainsi que de l’article 761-1 du code de la justice administrative afin que vous décidiez du montant que vous tenez à percevoir par l’Etat pour vos talents de ténor incontestable du barreau devant un vice de forme incontestable qui va simplifier la procédure et nous permettra d’engager par la suite si vous le désirez , la procédure contre LEPORC pour violation du CPI.
Je vous prie de croire Maître ACHOUI, en l’expression de ma plus haute considération concernant la règlement rapide de nos injustices respectives qui obstruent provisoirement les portes d’une ascension sociale programmée mais certainement pas achevée ni pour vous, ni pour moi.

Cordialement, VERDI P

EMAIL : SERMENTPV@GMAIL.COM
PJ : 3
Mr VERDI Patrice
C/O Mr VERDI Marcel
34 rue rené dunan
06150 CANNES LA BOCCA
TEL : 06 62 75 73 47
FAX : 09 56 09 40 26
Monsieur VERDI Patrice Cannes la Bocca le 19/10/08
A

Maître KARIM ACHOUI

· 10 Bd RASPAIL 75007 PARIS
TEL : 01 49 54 00 54
FAX : 01 49 54 00 55
Courriel : k.achoui@wanadoo.fr;
Maître ACHOUI,

J’ai l’honneur de vous écrire car j’ai assisté avec certains de mes amis à la détermination et au courage d’un homme de loi face à la machine administrative et judiciaire qui semble avoir déraillée une fois de plus dans l’affaire FERRARA pour des raisons politiques qui tiennent à focaliser l’information sur le fait que vous osiez défendre des voyous alors que certains de vos confrères se fourvoient régulièrement pour des hommes de pouvoir alors que des réseaux de pédophilie tenus par des criminels existent réellement et sont couverts par des magistrats, des politiques et parfois même d’autres fonctionnaires d’état.
Fonctionnaire de Police Municipale depuis 1993, marié, deux enfants, j’ai informatisé le service et j’ai publié mon premier essai philosophique intitulé « Le Serment D’hypocrite » aux éditions livres et images en 1997, en 2001alors que j’avais mis en place des réseaux d’influence afin de soutenir la candidature de Monsieur Bernard BROCHAND avec le soutien avisé et indispensable de Madame Louise Moreau Députée-Maire UDF contre son poulain Gilles CIMA, en diffusant principalement l’information par le biais d’un site internet dont l’URL était : NONPREVU.COM, j’ai participé à la victoire municipale et législative de Monsieur BROCHAND.
Eté 2001, je suis l’auteur d’un rapport de problème potentiel de pédophilie sur un individu qui prétend être un ami du Maire, je transmets la procédure au commissariat central de CANNES et demande à ce que le témoin fasse l’objet d’une audition car les faits déclarés sont d’une gravité extrême et mettent en cause des notables de la ville, de plus le témoin des faits, une jeune fille d’origine magrhébine, qui fait partie des orphelins d’auteuil se sent véritablement menacée.
Suite à ce rapport, j’ai rencontré deux personnes âgées particulièrement sympathiques qui ont fait l’éloge de la Police Cannoise et des institutions de la République et je les ai crues car ma culture privilégie l’écoute et le respect des anciens comme mes parents me l’ont transmise et l’ont acquise des leurs de l’autre coté de la méditerranée, en Tunisie dont ils sont natifs ; Les RACA m’ont demandé par la suite d’effectuer une enquête sur le petit ami de leur fille Fabienne en filant le couple à PARIS contre 3000€ , elles m’ont également demandé d’interroger le STIC en me donnant les coordonnées du petit ami en question, le dénommé Patrick BEYNES.
Je rentre de PARIS, je demande gracieusement à un ami Claude BENITA d’interroger le STIC et bingo le fameux petit ami a effectivement un casier, alors comment ces deux personnes auraient elles pu le deviner et comment ont elles eues les coordonnées complètes du fiancé, dans tous les cas, pour moi c’est l’arrestation, mon avocat me dit que ce n’est rien car mon dossier est vide, aucune plainte pour le STIC et il est affirmatif, dans deux heures je serai dehors, j’ai fait 44 jours de détention au QHS de DRAGUIGNAN avec deux autres détenus qui avaient perdu leur appétit de vivre et de manger alors que j’ai pris cinq kilos de plus, je n’ai jamais pu obtenir de confrontation avec les plaignants, ni au CC car ils avaient quitté la ville la veille, ni devant le magistrat instructeur, ni au TGI de GRASSE et encore moins à AIX ; j’ai tout de suite compris le lien évident qui existait avec mon rapport de pédophilie, je l’ai dit au juge instructeur Mme MAUGENDRE et c’est alors que mon propre défenseur Maître VALIERGUE a signé une injonction thérapeutique pour tenter de me faire interner sans toutefois y arriver car le Pr ROURE, expert psychiatre auprès de la cour d’appel d’AIX, m’a déclaré sain d’esprit et a ajouté furieusement et non pas curieusement : « c’est une affaire politique ! ».
Malgré la décision du 15 mai 2002 du TA de NICE concernant ma présomption d’innocence, je n’ai plus jamais travaillé, le Maire de CANNES a émis plus de cinq années de fausses fiches de paye, ensuite pour ma condamnation à AIX, j’ai bénéficié de la loi d’amnistie N°2002-1062 promulguée le 06/08/02 qui supprime toutes peines d’emprisonnement inférieures ou égales à six mois avec application de sursis simple car je pense que le président avait totalement cerné le problème mais quand j’ai parlé de pédophilie mon nouvel avocat a précisé que j’assumais seul mes déclarations puis ne m’a plus défendu en se taisant tout simplement devant les mensonges réitérés du ministère public et d’un témoin que je n’avais jamais vu ni entendu de ma vie.
Le maire a tout de même émis un arrêté de radiation le 10/11/06, j’ai formulé une requête en annulation pour ce dernier auprès du TA de NICE car il existe une violation de mes droits à la défense en vertu de l’article 4 du décret du JO N°84-961 du 25 octobre 1984 qui précise la durée nécessaire entre la convocation initiale du fonctionnaire incriminé dans la procédure disciplinaire et la mise en place de cette commission.
Ce délai est fixé à 15 jours au minimum or l’arrêté émis par Monsieur le Député Maire de CANNES le 12 Octobre 2006 précise que la lettre d’information en LR + AR envoyé par Monsieur Claude MORIN, adjoint au Député Maire de CANNES et délégué au personnel date du 14 Septembre 2006 et la réunion ainsi que la décision de la Commission Administrative Paritaire date du 26 Septembre 2006, il y a donc une violation manifeste du délai minimum de quinze jours des droits de la défense en vertu du décret précité.
Je suis donc dans l’attente d’une décision du président de la quatrième chambre du TA de NICE devant un vice de forme incontournable et je demande 450 000 € de dommages et intérêts à la ville de CANNES que je justifie dans mon mémoire en défense car je suis harcelé moralement et financièrement depuis des années, et que je dénonce par le dépôt de plaintes pour discriminations sociales, harcèlement moral et coalition de fonctionnaires engagées auprès des autorités judiciaires de tutelle et diffusées à l’ensemble des parlementaires des groupes d’opposition Français et Européens mais aussi vers tous les TGI et Préfecture de France afin de pérenniser d’autant plus l’effet publicitaire qui convient si bien à Monsieur le Député Maire de CANNES.
Je tiens toutefois à vous faire part du fait que tout peut arriver quand on s’attaque au dictat des frères BROCHAND et de leurs réseaux qui ont déplacé des préfets, muté des fonctionnaires de Police, et organisé la pompe à fric de l’UMP qui semble admettre la pédophilie comme une pratique normale car non seulement le témoin de mon rapport a été menacé, les rapports de police semblent avoir disparu mais en plus notre excellent procureur DOUMAS est devenu procureur général en raison de ses qualités professionnelles majeures en matière de classement vertical.
Fin de la partie pénale, afin de pérenniser toute forme de résistance au fascisme institutionnalisé qui pourrait se terminer en bavure policière ou en suicide maquillé pour ma personne ou ma famille.
Le CPI ou Code de la Propriété intellectuelle : Affaire d’argent et d’état !
En effet, en 1997, j’ai proposé un manuscrit intitulé ‘Le serment d’hypocrite’ à Monsieur LEPORC alias René DELERINS, qui tenait une société d’édition rue montaigne à CANNES, il m’a fait signer un contrat d’édition avec 10% de droits d’auteur puis m’a affirmé qu’il devait le faire enregistrer chez un notaire avant de me le rendre.
Ensuite, plus de nouvelles, la société avait soi-disant fermé et Monsieur LEPORC avait disparu de la circulation.
Il y a quelques mois, j’entends à la radio que ce Monsieur a été condamné par le TGI de GRASSE à payer des dommages et intérêts très importants à Michèle MERCIER pour escroquerie car il était aussi son éditeur.
J’ai alors entrepris de petites recherches et je me suis retrouvé en vente sur la FNAC, CHAPITRE, AMAZON, etc… avec le même éditeur et N°ISBN de départ et cela depuis 08/1998, j’ai également découvert certaines informations sur l’une de ses sociétés que je vous transmets en pièce jointe.
J’ai donc depuis 1997 été toujours en vente et je n’ai jamais perçu aucun droits d’auteur sur mon œuvre, LEPORC serait défendu par Maître VALIERGUE selon Michèle MERCIER et tiendrait d’après des amis placés, une sorte d’officine barbouzarde pour la piscine (DGSE), ce qui m’éclaire un peu mieux sur ce qui m’est arrivé.
J’espère premièrement que votre honneur sera restauré le 28 Novembre prochain pour le principe mais aussi afin de pouvoir compter éventuellement sur votre assistance juridique car je combats seul et le lien actuellement virtuel qui nous lie est la contestation d’un système fasciste qui supprime toute notion d’individualité au profit d’un collectif d’actionnaires invisibles mais particulièrement nuisibles actuellement, ainsi si vous acceptez de m’assister dans cette expérience profondément humaine devant le TA de NICE, nous pourrons alors user de votre notoriété ainsi que de l’article 761-1 du code de la justice administrative afin que vous décidiez du montant que vous tenez à percevoir par l’Etat pour vos talents de ténor incontestable du barreau devant un vice de forme incontestable qui va simplifier la procédure et nous permettra d’engager par la suite si vous le désirez , la procédure contre LEPORC pour violation du CPI.
Je vous prie de croire Maître ACHOUI, en l’expression de ma plus haute considération concernant la règlement rapide de nos injustices respectives qui obstruent provisoirement les portes d’une ascension sociale programmée mais certainement pas achevée ni pour vous, ni pour moi.

Cordialement, VERDI P

EMAIL : SERMENTPV@GMAIL.COM
PJ : 3

CANNES 2008

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